Il y a plusieurs façons de profiter de la vie.
Partons d’un postulat assez simple : les humains sont des moutons. Tout le monde marche dans le même sens, comme un vrai troupeau. Dans l’absolu, admettons que ce ne soit ni mal ni bien, c’est comme ça, point.
Maintenant admettons que cette vie de mouton ne vous convienne pas. Que vous rêviez d’autre chose. Que le chemin emprunté par le troupeau ne soit pas celui que vous vouliez suivre. Deux solutions s’offrent à vous.
1 : Quitter le troupeau
2 : Profiter un maximum du voyage.
Quitter le troupeau :
Quitter le troupeau, c’est prendre un maximum de risque. C’est quitter son job pour créer son entreprise. C’est se lancer sans filer dans une vie nouvelle et inconnue. C’est aussi, bien souvent, se retrouver seul. C’est le prix à payer pour sortir du moule : devoir se battre pour ses idées contre l’état d’esprit ambiant qui vous fera dire que vous devriez plutôt rester dans le rang, bien sagement.
Quelques idées en vrac pour quitter le troupeau : partir en voyage itinérant, envoyer paître son patron pour se lancer dans l’entreprise de ses rêves, changer d’habitudes, de mode de vie, de lieux, etc.
Quitter le troupeau ne vous garanti par la réussite. Quitter le troupeau vous garanti seulement l’adrénaline d’une vie que vous gérez à 100%, parce qu’elle sera constituée de vos choix, et uniquement d’eux. Vous avez choisi la liberté, avec les avantages et les inconvénients que cela comporte.
Profiter un maximum du voyage :
C’est le choix du compromis. Mais qui peut s’avérer très intéressant si on en a conscience.
Le problème, c’est que l’immense majorité des gens qui n’aiment pas la direction que prend le troupeau, continuent néanmoins de suivre le chemin qu’il trace. Sans tenter une seule seconde de s’en écarter ou de se le rendre plus agréable.
Ils vont continuer de se plaindre de la crise, de Sarkozy, de ceci et de cela, mais ils continueront de rester vautrés dans leur canapé à regarder le Bigdil à la télé (comment ça, ça n’existe plus, le Bigdil ?)
Profiter un maximum du voyage, c’est utiliser les armes du troupeau et les retourner contre lui. C’est accepter que l’on ne fait pas le boulot de ses rêves, mais mettre en œuvre tous les moyens possibles pour en changer, pour évoluer dans la hiérarchie. C’est admettre qu’on aimerait bien rencontrer une femme/un homme belle/beau, drôle et intelligent/e, et faire en sorte de provoquer ces rencontres, en sortant, en allant parler aux inconnus, etc.
C’est l’alternative la plus sûre : apprécier au maximum le chemin que l’on emprunte tous les jours. Appréhender la vie de manière positive, en comprenant qu’on en a la parfaite maîtrise. Qu’être heureux provient en grande partie de l’état d’esprit qu’on décide d’adopter.
Trouver sa voie, et faire ce que l’on aime
Tout le monde ne sera pas entrepreneur à succès, peut-être tout simplement parce que vous n’avez pas envie de créer votre entreprise, ou parce que vous avez la possibilité de vous épanouir dans votre métier en tant que salarié.
Tout le monde ne partira pas en voyage perpétuel, à l’autre bout de la planète. Parce que vous n’en ressentez pas le besoin, parce que cela ne fait pas parti de vos rêves.
Il y a autant de manière de quitter le troupeau ou de profiter du voyage, qu’il y a de rêves et d’ambitions dans l’esprit de chacun. Mettez votre vie au service de vos rêves, et faites en sorte de vivre sans regrets. C’est le plus important !
Et vous, quelle est votre recette pour être heureux ? Quitter le troupeau, ou profiter du voyage ?
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