Si on veut faire carrière, si on veut voyager, si on veut s’ouvrir à d’autres cultures, l’apprentissage de l’anglais est devenu indispensable. Pour apprendre l’anglais, on peut prendre des cours particuliers auprès d’une étudiante en langues étrangères (mais ça ne sera probablement pas très efficace). Ou alors, on peut partir pour un séjour linguistique dans un endroit paradisiaque, comme Malte par exemple, et s’y mettre sérieusement.
Apprendre l’anglais se fait par étapes
Quand on souhaite apprendre l’anglais mais qu’on ne parle pas un mot de la langue, ça peut être franchement dangereux de se rendre directement dans un pays comme l’Angleterre ou les Etats-Unis.
Il y a quelques années, une fille que je connaissais c’était mis en tête de partir à Miami pour apprendre l’anglais. Elle savait à peine dire « hello, thank you, bye ». Son niveau était vraiment très mauvais, et comme elle voulait travailler dans le tourisme, elle n’avait pas vraiment d’autre choix que de s’y mettre
Donc elle est partie à Miami toute seule, et s’est retrouvée entourée d’américains qui parlaient un anglais incompréhensible pour elle.
Tu m’étonnes : entre « Brian is in the kitchen » de nos cours d’anglais à l’école, et les « what’s up bro ? » des américains, y’a un gouffre.
Du coup, elle s’est retrouvée isolée, avec personne à qui parler, et incapable de se faire des amis.
Elle avait prévu de rester le temps d’une année scolaire (de septembre à juin, pour ceux qui auraient déjà oublié 😉 ). Mais sa situation était devenue telle, qu’elle a préféré racheter un billet d’avion pour rentrer dans sa famille dès Noël.
On ne peut pas dire que ce fût un voyage linguistique très efficace. Alors que si elle s’était rendue ailleurs avant, dans un pays où les gens parlent un anglais qui lui est déjà plus accessible, ça lui aurait permis de se mettre au niveau, de s’habituer à parler une langue étrangère, et de prendre confiance en elle avant de partir à l’aventure en Floride. C’est la progression par paliers, et c’est probablement le meilleur système d’apprentissage possible.
A Malte, il fait beau et chaud
« Attends Jérémy, pas besoin qu’il fasse beau et chaud pour apprendre l’anglais hein« . Oui mais non. Si il fait beau et chaud, ça veut dire que vous allez sortir. Que vous allez prendre des verres en terrasse, faire des soirées, vous promener dans les rues, etc.
A Londres, si vous avez de la pluie et 5 degrés tous les jours, je vous garantie que vos envies de vous promener et de rencontrer du monde va être sacrément minimisée.
J’ai vécu à peu près la même chose en Andalousie : quand j’habitais Grenade pour apprendre l’espagnol, il a plu à peu près 90% du temps de mon séjour, et je ne suis pas sorti autant que j’aurais espéré. Du coup, même si j’ai bien amélioré mon espagnol, je ne suis pas encore totalement bilingue (doux euphémisme). Si j’avais été dans une ville plus ensoleillée, je serais sorti davantage, j’aurais rencontré plus de locaux, et mon niveau en espagnol serait probablement bien meilleur qu’aujourd’hui.
Bref, j’en reviens au propos : à Malte, il fait beau et chaud. Donc vous allez sortir, vous serez dans un environnement magnifique, et le fait de pouvoir discuter avec les locaux va vraiment vous encourager à vous mettre sérieusement à l’apprentissage de l’anglais. Parce que sinon, vos conversations vont vite tourner en rond, et vous allez être frustré.
Pour apprendre l’anglais à Malte, il y a deux options : emmener ses livres de grammaire et potasser sur la plage… ou alors se rendre à l’école d’anglais Maltalingua (http://www.maltalingua.fr/), et intégrer un groupe d’étudiants motivés et dynamiques (et en plus, dans une école avec piscine, située à même pas 100 mètres de la mer !).
Vous vous doutez quelle solution je vous recommande 😉