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Voici comment profiter à fond des moments importants de votre vie :

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On est le 27 août au moment où j’écris ces lignes. Cela fait deux mois pile que je suis arrivé en Suède. Mon séjour touche désormais à sa fin : je rentre en France lundi prochain, le 3 septembre, pour être exact. Marrant d’ailleurs, car je n’ai jamais aimé les 3 septembre, synonyme de rentrée scolaire la plupart du temps. Ou de début de l’automne. Ou de quelconque période un peu déprimante.

Et maintenant, le 3 septembre est aussi la date de la fin de mon aventure suédoise. J’ai passé ici deux mois magiques. Et, je dois vous l’avouer, j’ai un tout petit peu le coeur brisé.

J’ai l’impression d’avoir trouvé en Göteborg la ville qui me correspond parfaitement : à taille humaine, dynamique, avec des gens ouverts et passionnés. J’adore l’atmosphère qui s’en dégage. Göteborg est inspirante.

Et j’ai une envie folle d’y rester plus longtemps.

Je travaille par internet, et je n’ai aucune obligation en France ni ailleurs. Rien ne m’empêche, a priori, de chercher un nouvel appartement en Suède et de prolonger mon séjour ici.

Pourtant, vous savez quoi ? Je ne vais pas le faire.

Je vais dire au revoir aux amis que je me suis fait ici, verser une larme ou deux, utiliser mon billet d’avion, et rentrer en France. Le 3 septembre.

Pourquoi ?

Parce que je ne veux pas que Göteborg devienne ma routine.

En plein dans l’archipel de Göteborg.

Je hais la routine. Je la fuis par dessus tout. Je pense que les gens qui s’ennuient dans leur vie sont ceux qui n’arrivent pas à s’extraire de leur quotidien.

Si j’aime autant Göteborg, si j’apprécie autant les gens que je rencontre ici, c’est parce que je sais que tout ce que je vis là est exceptionnel. Dans le sens, hors de la norme. Hors de la routine.

Je sais que ces moments finiront, tôt ou tard. Ce sont des moments rares. Et ça les rend intenses, exceptionnels.

Si je prenais la décision de rester indéfiniment ici, je ferais de mon séjour en Suède une habitude. D’extraordinaires, je transformerais tous ces moments en « normaux ». Et je m’y refuse.

Je préfère jouir à 200% d’un laps de temps très court, plutôt qu’à 20% d’une durée indéfinie (et non pas infinie).

On profite mieux des bons moments quand on sait qu’ils ont une fin.

J’écrirais le prochain article depuis la France. Ou pas : j’ai une autre idée derrière la tête, je vous en reparle bientôt 😉

 

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